UN SAVOIR FAIRE.

Nicolas Appert. En 1795 met au point le principe de l’appertisation et de la stérilisation, consistant à chauffer des ingrédients dans un conditionnement hermétique. Il révolutionne alors les modes de conservation traditionnels connus jusque là ;  le sel, la déshydratation.

Reproduire  les conserves d’antan. Jadis, la conserve  maison était un moyen simple, naturel, efficace de conserver les produits de l’été et de l’automne pour pouvoir les déguster tout au long de l’hiver.

Enfant, je préparais des conserves de ratatouille avec ma mère, des bocaux de fromages de tête avec mon père. Des confitures, des cornichons, chaque fin d’été, on préparait l’hiver. On faisait  force provisions de conserves, de produits que l’on retrouvait  avec grand plaisir tout au long de l’hiver.  Les conserves de Girolles, de charbonniers, de mousserons… tous ces produits issus de cueillettes locales et si chers à nos cœurs.

UNE AMBITION

Une envie de consommer autrement. Les termes « locavore », « circuits courts », « circuits de proximité » prennent tout leur sens en ces temps de crise écologiques. Les produits sains que proposent l’appertisation font également sens dans ce monde d’incertitude sanitaire.

Les consommateurs deviennent « consom’acteurs », Ils prennent conscience de l’impact de leurs actions quotidiennes sur l’environnement, orientent leur réflexion vers de l’authenticité la naturalité.  Locavores, ils privilégient le sourcing d’ingrédients locaux, afin de réduire significativement de nombreux transports inutiles.

Puis chez Pots Potes, on ne force pas la nature. Certains produits ne supportent tout simplement pas la stérilisation, la haute température. On ne souhaite pas rendre ces produits stérilisables à grands coup d’additifs, de texturants, d’exhausteurs de gout…. Par contre on vous explique comment accommoder les produits au moment de la mise en œuvre, afin d’obtenir le meilleur du produit.